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Charte du Thérapeute Holistique

 

Article 1 – Pratiquer dans l’amour et le respect du pouvoir qui est confié au thérapeute.


Le consultant qui nous a choisi nous confie des informations intimes de sa vie. Certains soins nécessitent qu’il s’allonge sur une table de massage, parfois en sous-vêtements, afin de bénéficier d’une prestation optimale. En abaissant ses barrières psychiques, il devient vulnérable et accepte donc de considérer les zones de son corps et de son esprit qui sont à l’origine de ses troubles. Le thérapeute doit toujours se montrer rassurant en émettant douceur et force à partir de son chakra du cœur. De ce fait, le consultant trouve en lui les ressources nécessaires pour accepter puis pardonner la situation qui lui paraissait insurmontable. Le pouvoir du thérapeute provient partiellement de l’au-delà où guides, archanges et autres entités éclairées permettent d’accroître considérablement la qualité du soin tout en le protégeant contre des profils énergétiques trop négatifs.

 

Article 2 – Ne jamais interrompre un traitement médical en cours ni faire de prescriptions.


Malgré l’antagonisme qui règne entre les médecines allopathiques et naturelles, leurs propriétés distinctes a cependant prouvé leur efficacité. Si la plupart des pays ne reconnaissent pas les thérapies qui ne s’inscrivent pas dans le cursus officiel, il serait pourtant très avantageux de réunir leurs avantages dont le but est de comprendre et de développer l’œuvre que représente l’être humain. Cependant la loi interdit formellement de prescrire tout traitement médical. Le seul « médicament », qui n’en est pas un, est l’échange conscient d’énergie véhiculée entre les deux parties lors du soin.

 

Article 3 – Assurer la confidentialité totale des consultations.


Les informations confiées au thérapeute ne doivent en aucun cas atteindre une tierce personne. Cette règle est fondamentale car elle protège le patient en le préservant d’un non-jugement. De ce fait, ce dernier peut s’ouvrir davantage sans crainte d’être jugé, critiqué ou manipulé.

 

Article 4 – Toujours rester honnête et humble en ne garantissant aucun résultat.


Le thérapeute doit toujours agir en bonne foi et ne doit en aucun cas s’abaisser à la charlatanerie en émettant des engagements qu’il est incapable de tenir. Sont aussi catégoriquement bannis les paroles et les actes nocifs, humiliants, illusoires, trompeurs et dogmatiques. Seul le consultant et les forces de la création ont le pouvoir de rendre possible toute amélioration. Le thérapeute restera toujours un intermédiaire. Bien entendu, il évitera de sombrer dans les pratiques des arts divinatoires, des sciences occultes et de la parapsychologie.

 

Article 5 – Pratiquer dans un cadre légal et appliquer des tarifs équilibrés basés sur l’échange.


Le praticien doit d’abord se conformer à la législation de l’endroit de son exercice ainsi que des statuts en vigueur de son corps de métier. Si le tarif demandé est une marque de reconnaissance pour la prestation apportée, sa justesse permet d’évaluer la qualité de la prestation. Trop élevé, le soin serait inaccessible et un tarif trop bas poserait un doute sur sa qualité. Par ailleurs, un bilan comptable est nécessaire pour gérer correctement et en toute légalité les flux d’entrée (consultations, missions, prestations) et de sortie (investissements, assurances, impôts, taxes, charges, etc.). Cependant, il peut accorder des tarifs préférentiels aux personnes à faibles ressources et peut, dans des cas très particuliers, recourir à un système d’échange qui n’est pas basé sur l’argent (objets, services).

 

Article 6 – Évoluer constamment et rester ouvert.


Il est universellement admis que tout ce qui n’avance pas recule. De ce fait, tout thérapeute doit rester ouvert en s’informant des nouveautés qui émergent dans le(s) domaine(s) où il exerce. En effet, des pratiques comme le magnétisme – pourtant bien connues de tous – sont très loin d’avoir révélé tous leurs secrets. De plus si l’évolution rapide de la conscience collective emporte certains maux, elle en crée de nouveaux. Le thérapeute doit d’abord pouvoir s’adapter à la configuration globale de tout consultant (origine géographique et sociale, culture, terreau familial, valeurs, environnement, etc.) car ce dernier ne peut être traité par le moyen (expéditif) d’une méthode générale. L’effort d’adaptation consiste ensuite à s’intéresser, voire à se former à de nouvelles disciplines afin d’enrichir son jeu des cartes de ses confrères.

 

Article 7 – Offrir au consultant de devenir sa propre source de guérison.


Si le consultant est conscient de ses troubles physiques et psychologiques, leur origine se cache aux tréfonds de leur inconscient. Le rôle du praticien est de le guider dans ce monde inatteignable par la raison et la seule volonté consciente afin d’effectuer le travail de libération. En devenant autonome, le consultant se débarrasse de ses anciens schémas handicapant et victimisant pour se recentrer sur ses propres capacités de guérison. En réalité, la personne redécouvre sa véritable nature, son véritable « soi ».

 

Article 8 – Accepter les mineurs et handicapés mentaux uniquement en présence ou avec l’accord des parents ou du tuteur légal.


Avant d’effectuer un soin sur un mineur ou un handicapé mental, le thérapeute s’engage à recevoir l’accord d’au moins un des parents ou du tuteur légal. En effet, ces personnes leur sont très attachées. Le soin s’effectue donc en triangulation. En cas de complication et comme les thérapies alternatives ne sont pas reconnues, la négligence d’un tel accord serait fatale pour le praticien qui doit avoir au moins être assuré d’un point de vue responsabilité civique et juridique. Cependant, les enfants sont généralement plus coopératifs cars ils ne craignent pas les changements. En ce qui concerne les handicapés mentaux, un cadrage de l’aura approfondie est nécessaire en plus du ressenti habituel.

 

Article 9 – Accueillir les consultants dans un endroit adapté et énergétiquement harmonisé.


Une salle de soin accueillante et surtout chargée d’énergies positives favorise le bon déroulement des séances. En effet, le niveau énergétique du local doit au moins atteindre le huitième plan et être purifié (débarrassé de toute vibration nocive) après chaque séance, tout comme la table de massages, les outils et les accessoires.

 

Article 10 – Aider éventuellement les patients en phase terminale et après leur mort physique.


Le magnétiseur humaniste ne se considère pas comme un thérapeute ordinaire car sa volonté est alignée sur la conscience du soi et ses pratiques doivent aussi permettre à cette catégorie de consultants de franchir le cap de la mort qui consiste à passer de la matière à l’éther. De ce fait et suite au décès naturel de la personne, il pourra être amené à faire monter son âme dans des sphères supérieures en fonction des consignes qu’il a reçues de l’au-delà.

 

Article 11 – Rester humble et respectueux. Toujours utiliser ses capacités pour le bien.


Le thérapeute doit respecter chaque consultant en faisant preuve d’une profonde humilité. Cela consiste à faire taire l’ego afin de pouvoir plier sans pour autant se briser devant celui de personnes arrogantes. Cela consiste aussi à reconnaître de ne pas tout savoir ni tout maîtriser, ne pas se comparer et encore moins prétendre être supérieur aux autres, être le silence pour percevoir de la bouche de la personne qui s’exprime l’ignorance de ceux qui savent, continuer à apprendre et de tout le monde, chercher à être la plus brillante des lumières sans ne jamais éblouir personne.
Étant parfaitement conscient que chaque être est d’autant plus précieux qu’il cherche à s’élever, il met sa conscience d’Être incarné au service de la vaste Assemblée Lumineuse de la Terre, des plantes, des animaux, des humains... de la force créatrice universelle.
Le magnétisme influe tout ce qui existe car tout ce qui existe a des propriétés vibratoires. Purifier un endroit, une personne possédée ou envoûtée, dépolluer et assainir sont les missions du magnétiseur humaniste. Il s’engage par ailleurs à ne jamais utiliser ses pouvoirs et ses connaissances à des fins égotiques ou maléfiques. Si cela arrivait, il appartient à ses confrères de lui rappeler le choix qu’il a fait de cheminer dans la lumière. En revanche, si ce dernier persiste dans l’erreur, il s’exclura à plus ou moins long terme de la fédération car la lumière finit toujours par triompher de l’obscurité.

 

Article 12 – Savoir se mettre au service de l’idéal le plus haut pour soi et l’univers.


Tout ce qui existe est imprégné de la conscience universelle. Ceci prévaut évidemment pour les humains. Ainsi le devoir des plus avancés est d’instruire les autres. Malheureusement beaucoup d’âmes évoluées subissent les mauvaises influences de leurs semblables et finissent par se pervertir. D’autres personnes, qui sont pourtant parvenues à faire rentrer de la lumière en elles, sont restées incomprises, ont pris peur et ont finalement rejoint le faux et le virtuel car elles n’ont pas trouvé leur véritable place sur Terre. Il appartient donc aux personnes plus éclairées de les reconnaître puis de les recevoir dans leur humanité.

Pratique de la divination


La pratique de la divination, avec ou sans supports, est un art et ne constitue en aucune manière une science exacte. Autrement dit, il ne saurait exister de prédiction fiable à cent pour cent, et il ne peut être garanti une réalisation certaine des évènements prévus en voyance.

Le praticien de la voyance est tenu à une obligation de moyens (utilisation de ses connaissances en arts divinatoires, de son savoir, de son don de voyance). Il ne peut être tenu à une obligation de résultats.

L'exercice de la voyance a pour seule finalité d'éclairer le demandeur sur son avenir potentiel afin qu'il en prenne conscience et puisse, en toute connaissance de cause, exercer pleinement son libre-arbitre.

Pour des raisons qui lui sont propres (non ressentis du client, rejet personnel de certaines questions, ou autres), le praticien peut mettre fin à la consultation dans les premières minutes. Il lui appartient de dédommager le demandeur, ou lui proposer un report de la prestation.

Le praticien s'engage à se conformer aux lois et obligations, ainsi qu'à l'éthique en usage dans sa profession
 

 

 Confidentialité


Le praticien de la voyance est tenu à la discrétion professionnelle. Les informations recueillies sur un client ne seront utilisées que dans l'exercice de sa profession, et seulement vis à vis de ce dernier. Elles ne sauraient être divulguées à des tiers.

Il s'interdit tout enregistrement d'une consultation à l'insu de son client.

Le praticien s'interdit la revente de son fichier d'adresses. Si celui-ci fait l'objet de traitements informatisés, ce ne peut être qu'en accord plein et entier avec les règles édictées par la CNIL.
 

 

 Tarifs


Le praticien de la voyance s'engage à exposer clairement ses tarifs, lesquels sont réputés toutes taxes comprises (TTC) si la mention hors taxes (HT) n'est pas expressément annoncée.

Il s'interdit d'utiliser un terme évoquant la gratuité pour une offre qui ne le serait pas précisément.

Il s'engage à respecter les règles de sécurité pour le règlement de ses consultations.
 

 

 Divers


Le praticien s'engage à ne pratiquer aucune activité occulte pouvant nuire à autrui, ou à l'insu d'une personne concernée.

Il s'interdit tout pronostic formel lié à la santé, ainsi que toute prédiction relative à un décès.

Il s'interdit de conserver tous documents personnels, objets ou photos sans l'accord de leur propriétaire.

Il s'interdit également toute voyance aux personnes mineures hors du consentement formel de leurs parents ou tuteurs.
 

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